Bonne fête à toutes les MAMANS 

 


 

Poème pour maman


C'est moi, je suis ta fille à toi,
Et tu sais, j'en suis fière, crois moi...
Bien sur, il y a eu des hauts et des bas,
Mais tout ne s'arrête pas là.

Souvent en toi je me retrouve,
Et mes yeux bruns déjà le prouvent...
Dans tes qualités j'ai puisé,
L'affection, la tendresse et la sensibilité.

Une bonne fête, je veux te souhaiter
A toi, ma maman adorée,
Puisses-tu aimer ces vers
Qui viennent de ta fille, sincère.

***

    

Maman

Qu'est-il besoin de fleurs
Lorsqu'on fête une bonne mère,
Le moindre vent dissipe les senteurs,
Et leur éclat ne dure guère;
Mais l'honorer par de tendres respects,
Et dans nos yeux où le doux plaisir brille,
Lui laisser voir les voeux de sa famille,
Voilà je crois le plus beau des bouquets.

Maman, reçois l'hommage
Du plus pur et tendre amour ;
Il croît avec notre âge,
Nous le sentons chaque jour :
Avec plaisir je répète
Que je t'aime tendrement ;
Ce jour est pour moi la fête ;
La fête du sentiment


" bahar "

 

 ***

 
Pour moi tu es un occéan de tendresse

Déversant sur moi avec délicatesse

Toute une cascade de caresses

Dont je m'abreuve avec ivresse.

Pour moi tu esw un abîme de patience

M'écoutant toujours avec indulgence

Me protégeant de mon insousciance

Et pardonnant sans cesse mes imprudences

Pour moi tu es mon havre de bonheur

D'ou tu effaces avec une infime douceur

Toutes les petites peines de coeur

Que tu tiens éloignées de moi avec ardeur

Pour tel le plus pur des diamants

tu es maman la plus jolie étoile filante

Brillant tout là-haut dans le firmament

Existant depuis la nuit des temps

Pour moi tu es la seule histoire d'amour

Que je n'ose dévoiler au grand jour

Et que je garderai pour moi à jamais

Comme un grand et beau secret

Mais avant tout tu es la plus douce des mamans

veillant sur toute la famille affectueusement

Oui pour moi tu es tout cela et plus encore

Et voilà pourquoi je t'aime si fort  

 

***

  

LA FÉE CONDE    

De la Mère est venue la chair,

délicate et rosée.

Par cet acte elles sont nées,

sœurs pour se conjuguer.  

La Mère, la fille, par sa féminité,

détiennent le secret de la créativité.

La fleur de la beauté,  

se trouve ainsi multipliée.

Trente six lumières illuminent l'aînée,

car chacune de ses années tu l'as accompagnée.

Trente trois soleils éclairent la seconde née,

de ses éclats, tu t'es occupés.  

Dans le passé deux graines ont été semées,

puis leur envie a été de pousser.

Mais elles reviennent de temps en heure,

butiner la première des fleurs.  

Devenues fécondes de leurs joies, de leurs écueils,

elles virevoltent dans la vie, libres comme une feuille…

Mais leur cœur ne leur permettra jamais d'oublier,

leur Mère par qui elles sont entrées.

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